Sources de contamination, normes alimentaires en situation normale ou de crise nucléaire
C’est un produit de fission de l’uranium et, comme tel, des quantités plus ou moins importantes de cet isotope ont été relâchées dans l’atmosphère d’abord dans les années 1940 et 1950 lors des essais nucléaires à l’air libre, puis lors d’accidents nucléaires (Voir la Liste des accidents nucléaires).
Les dernières contaminations générales ou importantes de la biosphère ont été induites par la catastrophe de Tchernobyl, le 26 avril 1986, qui reste aujourd’hui la principale contamination radioactive de la zone interdite et de certaines zones contaminées par le passage du nuage, puis par la Catastrophe de Fukushima.
Normes : elles ont varié selon les pays, les époques et les produits (plus sévères pour le lait que la viande, car le lait est davantage consommé par les enfants, qui sont plus vulnérable au césium 134 ou 137).
À titre d’exemple, pour la viande :
600 Bq/kg est la norme européenne actuellement en vigueur 3 à ne pas dépasser pour la venaison et la viande d’animaux d’élevage ;
500 Bq/kg est la norme pour le Japon4 ;
3 700 Bq/kg est la norme, beaucoup plus laxiste, édictée en URSS suite à l’accident de Tchernobyl5 avant d’être redescendue à 740 Bq/kg en Russie en 1990 ;
592 Bq/kg est la norme actuelle pour les pommes de terre et la viande au Bélarus, décidée par le gouvernement, une fois la république devenue indépendante.
http://fr.wikipedia.org/wiki/C%C3%A9sium_137#cite_note-3
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